Votez Parti Populaire : Michel Mary - 3è Suppléant au Sénat.

IL EST TEMPS DE RÉAGIR !

Marre de la langue de bois des politiques ? Partisan du confédéralisme ? Demandeur de plus de sécurité, avec des policiers dans la rue plutôt que derrière un bureau ?

Dans l'attente d'une justice immédiate au service du citoyen ? Marre des lourdeurs des institutions et des pléthores de fonctionnaires ? Pour la réduction de la durée des allocations de chômage ? Fatigué de payer les impôts des fraudeurs à leur place ?

Marre, marre, marre d'être gouverné par la "Bande de 4" ?


AUX URNES, CITOYENS !

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dimanche 13 juin 2010

Un nouveau drapeau pour la Belgique ?


Le Parti Populaire s'étonne de la rapidité avec laquelle les partis classiques copient ses idées.

Reynders parle de la diminution des fonctionnaires et de la diminution des impôts sur les bas salaires, ce qui figurait déjà dans le manifeste du PP, mais pas dans celui du MR.

Miller parle de l'injustice entre les pensions hommes-femmes ; calculs établis en son temps par Rudy Aernoudt.

Les quatre partis traditionnels parlent de tolérance zéro.

Le CDH et le MR plaident maintenant aussi pour la circonscription fédérale... La liste est illimitée.

Toutefois, des idées telles que limiter les allocations de chômage dans la durée ou diminuer le nombre de ministres (deux concepts défendus par le PP), manquent apparemment de sex-appeal. Rudy Aernoudt soulève le fait que ces approches sont nécessaires au bien-être du pays, mais elles ne sont pas copiées, car les partis traditionnels craignent que ces idées, pourtant indispensables, n'effraient l'électeur et surtout ne servent pas l'appareil et les postes à distribuer aux copains.


Le PP a confiance dans les électeurs qui comprendront que le vote le plus utile qu'ils puissent faire est de permettre à de nouvelles personnalités et à un nouveau parti avec des idées concrètes et réfléchies de siéger au Parlement.

Si nous continuons systématiquement à remettre les mêmes au pouvoir,
autant mettre le drapeau national à leurs couleurs.



Victoire de la droite aux Pays-Bas.


Le Parti Populaire salue la victoire massive
de la droite libérale en Hollande.

Il constate que les partis de droite, plébiscités par les Hollandais, veulent traiter avec détermination les véritables problèmes auxquels les Pays-Bas (tout comme la Belgique) sont confrontés. A savoir le déficit public, le vieillissement de la population, le chômage, la sécurité et l'immigration.

Le Parti Populaire est prêt à débattre de ces thèmes
avec les partis représentés au Parlement.



samedi 12 juin 2010

A qui se fier ?


Vu sur internet :
Derniers sondages de L'Avenir.be et 123Votez.be.

Encore une fois, ces deux instruments de sondage d'opinion donnent des chiffres contradictoires. Encore une fois, un sondage en ligne donne au PP d'excellents scores.

Je suis convaincu au travers de ces signaux que le Parti Populaire va en étonner plus d'un ce soir.

Ma seule inquiétude, et j'ai pu le constater durant ma campagne et sur les forums internet, c'est que les gens sont désabusés. Pour eux, revoter pour les partis traditionnels revient au même que de ne pas voter du tout. A quoi cela sert-il d'aller aux urnes si c'est pour reprendre les mêmes, les classer dans un ordre différent et attendre qu'ils forment un gouvernement qui ne verra le jour qu'au bout de longs mois de marchandage ; pour tomber à nouveau suite à un énième conflit communautaire ?


Hélas, je suis bien obligé de leur donner raison. Mais je les appelle malgré tout au sursaut citoyen. S'ils veulent vivre dans un pays qui ne soit plus tiraillé par des crises récurrentes, où les politiques se soucient de leur bien-être en les aidant à traverser la crise grave que nous connaissons. Alors à ceux-là, je dis qu'ils doivent surmonter leurs désillusions et voter impérativement aujourd'hui pour les formations alternatives qui ont la volonté de faire enfin bouger les choses.

Ne pas voter, c'est donner sa voix aux partis traditionnels.
Voter, c'est exprimer son désir de changement.


Zéro sur toute la ligne... ou presque.


Je suis très préoccupé par les transports en commun en général et plus particulièrement par notre SNCB nationale qui ne cesse d'accumuler les défaillances et les problèmes.

Retards incessants, engorgement aux heures de pointe faute de matériel roulant, insécurité (936 délits en 2008 contre 1.200 en 2009 - Une femme sur dix a peur de prendre le train), grèves répétées des accompagnateurs, vétusté du matériel - parfois cinquante ans - (souvenez-vous de l'accident de Buizingen), piètre communication vers les navetteurs pris en otages bien plus souvent qu'à leur tour, désorganisation chronique (trains à double étage circulant aux heures creuses), suppression de 16.000 trains à l'horizon 2012, dette explosive (53 millions en 2008 - 511 millions en 2009), fermetures programmées de gares,... ce ne sont pas les problèmes qui manquent, au grand dam du navetteur qui paie (cher) pour un service qu'il ne reçoit pas.

Prenons le cas de la gare d'Ecaussinnes, proche de mon domicile. Il ne fait pas bon s'y promener le soir, car les phénomènes d'insécurité y sont légion. La solution préconisée par la SNCB ? Simple : il faut fermer la gare !

Toujours d'après la SNCB, tout ça c'est la faute à internet (achat de billets en ligne), ainsi qu'à l'Europe et à son libéralisme débridé.

Alors, je freine des quatre fers et je crie
TERMINUS !
Cela a assez duré. Mon intention est de tout mettre en oeuvre pour faire bouger le pachiderme assoupi sur
le non-respect de sa mission première :

le service public et non le public à son service.


Il faut poser les vraies questions !


Les quatre partis traditionnels n'osent pas poser les vraies questions.

Le Parti Populaire constate que les débats entre les quatre partis traditionnels font l'impasse sur les véritables enjeux auxquels la Belgique est confrontée :
  1. chaque heure la dette publique augmente de 2 millions d'euros !
  2. 1.400.000 résidents belges émargent au budget de l'ONEM !
  3. 1 enfant belge sur 7 n'a jamais vu ni son père, ni sa mère au travail !
  4. 1 Belge sur 3 aura plus de 60 ans en 2050 !
Qui va et comment payer ?

Le Parti Populaire ose parler franc et donne des solutions.
Elles sont décrites clairement dans son manifeste :
http://www.partipopulaire.be/pp/manifeste-du-parti-populaire


vendredi 11 juin 2010

A 6 mois, le Parti Populaire pèse déjà 8,8 %.

Au-delà de nos espérances...

Après 6 mois d'existence, le Parti Populaire est plébiscité par 8,8 % des Bruxellois (sondage Ipsos - La Libre/RTL), 10 % des chefs d'entreprise (sondage NRZ/Standaard), 8,4 % des médecins francophones (sondage Journal du Médecin) et 23 % des lecteurs de L'Echo (17.000 votants en ligne).


Le Parti Populaire espère obtenir ses premiers élus le 13 juin, d'autant qu'à Bruxelles, le seuil des 5 % a été annulé par la Cour Constitutionnelle et n'est donc pas d'application.

Le PP est confiant dans le vote de ses partisans.

Vu sur Sondage-Elections.com


Encore un site de sondage d'opinion
qui laisse augurer de bons scores
pour le Parti Populaire.


Un panel de ± 1.300 visiteurs du site ont donné leur avis. Il est curieux que les résultats ne soient pas en phase avec ceux publiés par les grands instituts.


Cliquez sur le lien ci-dessus et vérifiez par vous-mêmes. Vous constaterez que les scores du PP sont bien supérieurs aux chiffres officiels.

A force de présenter leurs données comme étant le résultat annoncé des élections, les médias font le jeu des partis traditionnels en poussant les indécis à faire soit-disant comme tout le monde en votant pour eux. Or, chacun sait que les sondages sont par définition relativement peu fiables. Souvenez-vous des élections de juin 2009 où ils donnaient le Vlaams Belang vainqueur en Flandre !

Alors, le 13 juin, votez suivant votre conscience et vos attentes réelles. Ignorez les statistiques et désignez le parti bilingue à même de sauver l'Etat Belgique.

Le programme du PP préconise une série de mesures radicales
pour relever les grands défis que sont la révision
de la constitution, BHV, la justice,
le socio-économique, l'éducation, etc.